Nous vous avions promis une horlogerie hollywoodienne ? En voici une. Littéralement. Le titre est sans équivoque : Opéra « The Godfather ». Réunissant deux traditions mécaniques suisses ancestrales, l’horlogerie et la boîte à musique, elle est un chef-d’œuvre de miniaturisation. Vous vous en doutez, le système musical joue, à la demande, les 20 premières secondes du thème principal du fameux film de Coppola grâce à un micro cylindre, mais la prouesse technique ne s’arrête pas là. Au déclanchement du système, toute la platine effectue une rotation de 120° tandis que le cadran à différentiel lui reste parfaitement dans l’axe de lecture du temps. Ajoutez à cela un tourbillon trois axes – signature de la maison – et vous obtenez un garde-temps où la miniature et la complexité touchent à la démesure. Pourtant, la théâtralité d’une telle réalisation ne contentera peut-être pas les amateurs de mécanique horlogère pure. C’est certainement à eux qu’a pensé Jacob & Co lors de la création d’un autre monstre de technicité : la Twin Turbo Furious. Imaginez deux tournillons triple axes, une répétition minutes et un chronographe monopoussoir, le tout dans une seule montre-bracelet. Cela vous semble être le comble de la complexité ? Il n’en est rien. La répétition minutes sonne également les dizaines tout en étant protégée de certaines manipulations intempestives par plusieurs systèmes de sécurité. Quant à la fonction chronographique, elle est affublée d’une fonction complémentaire qui permet à la montre d’afficher l’écart de secondes par rapport à un temps de référence déterminé initialement par les aiguilles du chronographe. Du coup, après tant de prouesse mécanique, la simplicité de l’Epic X Chrono, paraîtrait presque trop simple. Pourtant ce chronographe bi-compax à l’allure ultra sportive renferme, lui aussi, un mécanisme rare qui le différencie de bien des concurrents. En effet, par l’entremise d’une couronne placée à 10 heures, une rare fonction de compte à rebours peut être activée. De l’horlogerie hors norme, sans autre limite que celle, sans doute, de Monsieur Jacob Arabo lui-même.